Il faut pourtant quitter tout cela pour prendre l’autoroute vers Porto car il se fait tard .Vive le GPS qui nous conduit à l’hôtel Ibis sans trop de problèmes. Le soir souper dans un petit resto proche : encore de la morue ou des dorades. Avec du bon vin !

Chacun fait ce qu’il veut. Nous restons avec Christiane et Jean-François et partons à pied.
D’abord, la gare avec ses beaux azulejos, les rues animées avec la foule, les tramways, les voitures, les vitrines, les églises, la librairie Lello où il y a un monde fou.

Après un arrêt dans un bar moderne et tranquille on continue notre descente vers le fleuve. L’odeur de bonne cuisine titille les narines de Jean-François et nous entrons dans un tout petit resto où l’on nous sert une délicieuse soupe de moules au madère !

La descente devient de plus en plus pentue et l’on débouche sur le fleuve: la foule au soleil se promène, les bateaux anciens et modernes embarquent les touristes, les façades des maisons qui bordent le fleuve, très colorées et typiques, s’échelonnent, imbriquées les unes sur les autres sur la colline.Nous restons un moment dans cette ambiance de vacances et de fête puis nous pensons au retour. Une jeune fille très sympa de l’office du tourisme nous trouve un taxi (c’est très difficile car ils font grève depuis trois jours!) qui nous remonte à l’hôtel.

Nous nous retrouvons tous vers 19 heures pour descendre à une soirée fado. Ce n’est pas terrible comme musique ni comme chanteurs mais le repas est bon bien que trop copieux et c’est la dernière soirée entre nous, bien sympa
Vendredi 21 : c’est le retour, long et pénible avec la pluie à l’arrivée à Lyon